• Ciste cotonneux (Cistus albidus)
• Asphodèle blanc (asphodelus albus)

   La vallée (correc dels collets) remonte jusqu'au col, Là, nous bifurquons carrément sur notre droite. Un immense cairn nous indique le chemin.
   C'est la partie sport de la journée que nous engageons. Sur quelques 300 mètres il faut suivre la crête de cette montagne. Le parcours est technique mais sans réel danger. C'est parfait ! Cela émoustille les sensations et fait monter l'adrénaline.

   Le sentier joue à saute-mouton par-dessus trois sommets successifs.
   Nous pique-niquons sur le deuxième qui a pour avantage de nous protéger de la fraiche brise venant de la méditerranée. 
   Certains déjeunent en regardant la mer, les autres choisissent le côté montagne. Ici on fait comme on veut.

   Ci-dessous c'est l'image de la zone à sensations. La prise de vue ne montre pas vraiment le relief accidenté de cette crête contrairement à la photo ci-contre.

   Le sommet suivant est le "plus" haut, 576 mètres. Sans regarder la carte nous le reconnaissons grâce à son pylône rouillé et couché à terre par la tramontane.
   Le dernier pic est franchit, nous suivons le sentier qui descend tranquillement vers la vallée. Nous avons toujours de part et d'autre une vue remarquable. Nous franchissons la D12 et reprenons le sentier en contre-bas. Celui-ci nous mène jusque  Vingrau.

   Nous traversons à nouveau le village, vide, vidé de ses habitants ? Les seuls occupants sont à coup sûr le personnel viticole et les quelques retraités qui s'accrochent à leurs racines. Pour le reste il faut attendre la saison estivale.

Terminé la rando!! Nous nous saluons, et chacun regagne ses pénates.

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